Baryonyx

Le Baryonyx est un genre de dinosaure théropode de la famille des Spinosauridæ pourvu d'un museau long et étroit et d'une large griffe au niveau du pouce.



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Baryonyx
Baryonyx walkeri
Baryonyx walkeri
Classification
Règne Animalia
Embranchement Chordata
Classe Sauropsida
Super-ordre Dinosauria
Ordre Saurischia
Sous-ordre Theropoda
Super-famille Megalosauroidea
Famille Spinosauridæ
Sous-famille Baryonychinæ
Genre
Baryonyx
Charig & Milner, 1986
Synonymes
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Le Baryonyx est un genre de dinosaure théropode de la famille des Spinosauridæ pourvu d'un museau long et étroit et d'une large griffe au niveau du pouce. Il ne comprend pour le moment que l'espèce walkeri quoique certains paléontologues considèrent que les espèces Suchomimus tenerensis[1] et Cristatusaurus lapparenti[2] sont toutes deux des espèces de Baryonyx et que Suchosaurus cultridens [3] pourrait éventuellement en être une autre.

Ce dinosaure vivait dans ce qui est actuellement l'Angleterre, l'Espagne et le Portugal au Barrémien (Crétacé inférieur). Il est un des rares dinosaures dont on connait exactement le régime alimentaire et il est pour le moment l'unique théropode non-avien dont on est sûr qu'il était au moins partiellement piscivore.

Étymologie

Il fut appelé Baryonyx walkeri à cause de la griffe impressionnante qu'il possédait au niveau du premier doigt de chaque main. Le nom de genre dérive ainsi du grec βαρως/barus signifiant'lourd', 'fort'et ονυξ/onyx'ongle', 'griffe'. Le nom de l'espèce rend quant à lui hommage au découvreur de l'animal, William J. Walker[4].

Reconstitution d'un squelette de Baryonyx walkeri au Natural History Museum à Londres.

Baryonyx walkeri est un dinosaure complet à 70% et il ne lui manque que quelques os du crâne, des vertèbres cervicales et dorsales, des côtes, des os des pieds et des mains et l'essentiel de la queue. Il devait mesurer à peu près 8 mètres pour un poids qui fut évalué à presque 2 tonnes[5], ce qui fait de lui un dinosaure théropode de taille moyenne. Baryonyx partage les caractéristiques propres aux Spinosauridæ dont il fait partie. En effet, il possède un museau étroit et particulièrement étiré vers l'avant, des bras puissants pourvus d'une grande griffe unguéale et des vertèbres sacrées plus hautes que celles de la majorité des autres théropodes. Le crâne est typique des spinosauridés puisque les mâchoires portent la plupart de dents de forme conique, particulièrement un peu dentelées et de section circulaire. Qui plus est , la partie antérieure du museau et des mâchoires inférieures a une forme de spatule (ou de cuillère) résultant d'un élargissement latéral des prémaxillaires, des maxillaires et des dentaires. Une dépression dite'subrostrale'est aussi présente et donne aux mâchoires une forme sigmoïde en vue latérale[6]. Ce théropode se distingue néanmoins des autres membres des spinosauridés par une légère corne lacrymale subrectangulaire et d'autres différences au niveau de la morphologie des vertèbres sacrées et caudales, du bassin et de la fibula[7].

Systématique

La systématique de Baryonyx fut fortement débattue dans les années 90, Charig et Milner[4], [8] estimant que ce nouveau genre faisait partie de la nouvelle famille des Baryonychidæ, et Buffetaut[9], [10] le voyant plutôt dans la famille des Spinosauridæ tout comme Spinosaurus. Un consensus semble désormais exister et ce théropode est désormais classé dans la sous-famille des Baryonychinæ avec Suchomimus tenerensis, Cristatusaurus lapparenti et Suchosaurus cultridens [7]. Les Baryonychinæ sont ainsi le groupe sœur des Spinosaurinæ au sein de la famille des Spinosauridæ. Ils se distinguent des spinosaurinés (qui comprennent les genres Irritator challengeri, Angaturama limai et Spinosaurus ægyptiacus) par des dents finement crénelées et une fosse nasale en avant du museau[7]. Certains paléontologues[1], [11], [12] considèrent le genre Suchomimus comme un synonyme junior de Baryonyx et qu'il doit être ainsi renommé Baryonyx tenerensis. En effet, peu de caractères ostéologiques différencient ces deux dinosaures (voir l'article sur les Spinosauridæ) et ces paléontologues estiment que les rares différences entre Suchomimus et Baryonyx ne justifient aucunement l'expression de deux genres différents.

 Spinosauridæ[13] 

Découverte

Reconstitution de Baryonyx walkeri dans la position de sa mort.

Baryonyx walkeri fut trouvé dans la fosse argileuse de Smokejacks (propriété de l'usine de brique'Ockley Brick Company') à Wallis Wood près d'Ockley, une ville localisée non loin de Dorking dans le Surrey, en Angleterre. Il fut découvert durant l'hiver 1983 par William J. Walker qui ne trouva en premier lieu que l'énorme griffe unguéale de l'animal dont ne manquait que la partie antérieure. Aidé de plusieurs de ses amis, il retrouva néanmoins l'extrémité de l'énorme griffe mais aussi d'autres ossements une semaine plus tard. Conscient de l'importance de sa découverte, ce paléontologue amateur contacta directement les paléontologues Alan J. Charig et Angela C. Milner, tous deux paléontologues au Natural History Museum, qui débutèrent des fouilles dès le printemps 1983. L'équipe de paléontologues qui fut menée par ces scientifiques dégagèrent pas moins de deux tonnes de roches (des argiles dites'wealdiennes') contenant les ossements de l'animal[6].

Le Baryonyx walkeri d'Espagne fut aussi découvert lors d'une campagne de fouille en 1983 dans la localité d'Igea. Le fragment de mâchoire fut ensuite entreposé dans les collections de la'Sección de Geología de la Sociedad de Ciencias Aranzadi'puis décrit en 1995[17].

Les premiers restes associés au genre Baryonyx sp. (mais interprétés comme tel plus tard) furent découverts bien avant la fin du XXe siècle puisque des dents semblables ou particulièrement proches de celles de Baryonyx walkeri ont été découvertes dans le Surrey dès le début du XIXe siècle[3]. En effet, Gideon Mantell, le fameux paléontologue qui appela le tout premier dinosaure (Megalosaurus), avait mentionné en 1827 de telles dents provenant du Wealdien de Tilgate Forest (Surrey) mais les associait à un gavial[18]. En 1841, Sir Richard Owen, le père fondateur du mot'Dinosauria', publiait dans son Odontography une description des dents mentionnées par Mantell et les rapprochait aussi à un crocodilien qu'il appela Suchosaurus[19]. Le spécimen type sur lequel repose l'espèce Suchosaurus girardi qui fut créée par Owen[19] ne comprend qu'une seule dent isolée qui semble proche mais pas semblable à celle de Baryonyx[3]. Il s'agit par conséquent là d'un baryonychiné qui pourrait être un genre différent de Baryonyx. En 1897, Sauvage décrivait des restes provenant du Portugal qu'il identifia comme appartenant à la nouvelle espèce Suchosaurus cultridens[20]. Cette espèce fut reconnue comme étant un Baryonyx[3].

Actuellement, les derniers restes découverts (et publiés) de Baryonyx sont des dents isolées provenant de la Province de Burgos et décrites en 2003[21].

Paléogéographie

L'espèce Baryonyx walkeri fut trouvée dans le Surrey[6] mais également en Espagne puisqu'un fragment de maxillaire provenant de la Province de la Rioja fut identifiée comme appartenant à cette espèce[17]. D'autres ossements furent associés au genre Baryonyx sp. et viennent d'autres partie d'Europe. Des dents et une vertèbre sacrée de Baryonyx ont été extraites des falaises de l'Île de Wight en Angleterre qui sont spécifiquement riches en fossiles de vertébrés du Crétacé inférieur[12]. Des dents isolées de Baryonyx ont été aussi découvertes dans la Province de Burgos, en Espagne[17]. Enfin tout dernièrement, le matériel de l'espèce Suchosaurus girardi[22] découvert dans la Province de Lisboa et Setubal au Portugal et qui inclut un morceau de dentaire droit mais aussi quelques dents isolées, fut réidentifié comme étant celui du spinosauridé Baryonyx[3]. Ainsi par conséquent, Baryonyx était présent dans toute l'Europe occidentale au Crétacé inférieur. Certains scientifiques[1], [11], [12] estiment que Baryonyx avait aussi colonisé les régions du nord de l'Afrique (Niger) à l'Aptien ainsi qu'à l'Albien.

Paléobiologie

Dessin de Baryonyx se nourrissant d'un poisson.

La découverte de Baryonyx walkeri est exceptionnelle en soit puisque les paléontologues ont retrouvé dans la région stomacale de l'animal des dents et des écailles du poisson appelé Lepidotes qui furent attaquées par des acides gastriques, mais aussi des restes désarticulés du squelette d'un jeune Iguanodon[6]. Cette découverte apporte ainsi un témoignage particulièrement précieux du dernier repas de Baryonyx qui se nourrissait ainsi (au moins partiellement) de poissons et de dinosaures herbivores.

La théorie selon laquelle les Spinosauridæ puissent être piscivores fut proposée par Taquet[23] en 1984, avant même que ne soit publiée la découverte de Baryonyx. Ces spinosauridés semblent être en effet spécialisés dans ce régime alimentaire quand on regarde en détail l'anatomie de leur squelette. Le crâne ressemble largement à celui de nos crocodiles actuels tant il est particulièrement étiré vers l'avant et pourvu d'un museau étroit latéralement. Cette particularité anatomique sert à diminuer les forces de frottement dans l'eau et d'augmenter la vitesse de tout mouvement vers l'avant, tel que celui qu'effectue les gavials actuels pour attraper des poissons. Il a d'ailleurs été prouvé récemment que l'anatomie fonctionnelle de Baryonyx est plus proche de celle d'un gavial, que d'un crocodile ou d'un théropode comme Allosaurus[24]. Il est à noter aussi qu'un crâne étroit est spécifiquement fragile comparé à un crâne massif comme celui d'un Tyrannosaurus ou d'un Carcharodontosaurus et il est certain que les spinosauridés ne devaient en aucun cas être de super-prédateurs. Une dépression subrostrale permet aussi aux dents du maxillaire antérieur de pointer vers l'avant ce qui favorise toute prise de proies lors d'un mouvement vers l'avant[11]. En outre, les dents sont coniques, comme le sont celles des crocodiliens, et spécifiquement longues. Les dents de section circulaire témoignent le plus souvent d'une alimentation piscivore dans la mesure où elles permettent de poinçonner les proies plutôt que de les déchiqueter. L'absence de dentelure sur les dents prouvent aussi qu'elles ne servaient en aucun cas à découper, comme c'est le cas des dents des carnassiers qui n'ont pour autre fonction que de découper la viande. Les narines sont rétractées vers l'arrière et l'ouverture nasale devait peut-être se trouver au sommet du crâne ce qui devait peut-être permettre aux spinosauridés de plonger une partie du museau dans l'eau tout en continuant de respirer. D'autres particularités anatomiques présentes au niveau du squelette portcrânien vont aussi dans le sens d'une alimentation piscivore. Le cou en'S'typique des théropodes est spécifiquement long ce qui offrirait à l'animal la possibilité de rester debout, le corps parallèle au sol, et de plonger la tête dans l'eau à la recherche de proies. Enfin, la griffe du pouce est surdimensionnée et semble toute faite pour permettre aux spinosauridés de harponner des proies[6]. Les restes d'un dinosaure herbivore témoignent cependant du fait que Baryonyx ne devait pas être exclusivement ichtyophage. D'autres preuves de l'alimentation des spinosauridés ont aussi montré que ceux-ci se nourrissaient aussi de ptérosaures[25]. Il est plus que probable que ces théropodes devaient se nourrir aussi de carcasses et devaient avoir plus de facilité que les autres dinosaures carnivores à capturer des reptiles volants en plein vol[25]. Certains paléontologues voient d'ailleurs Baryonyx comme étant un grand prédateur ou un super charognard[26] plutôt qu'un animal piscivore, quoique cela soit réfuté par d'autres paléontologues[27].

Annexes

Référence

Bibliographie

Liens externes

Référence taxonomique

Références

  1. Milner, A. C., 2003. Fish-eating theropods : a short review of the systematics, biology and palæobiogeography of spinosaurs. In Actas de las II Jornadas Internacionales sobre Paleontologıa de Dinosaurios y su Entorno (2001) (eds P. Huerta Hurtado & F. Torcida Fernandez-Baldor), pp. 129–138. Salas de Los Infantes : Colectivo Arqueologico–Paleontologico de Salas.
  2. [1]Publication en (es)
  3. Buffetaut, E., 2007. The spinosaurid dinosaur Baryonyx (Saurischia, Theropoda) in the Early Cretaceous of Portugal. Geological Magazine, 1-5 Cambridge University Press.
  4. Charig, A. J. & Milner, A. C., 1986. Baryonyx, a remarkable new theropod dinosaur. Nature 324 : 359-361. [2]
  5. Therrien, F. & Henderson, D. M., 2007. My theropod is bigger than yours... or not : estimating body size from skull length in theropods. Journal of Vertebrate Paleontology 27 (1)  : 108–115.
  6. Charig, A. J. & Milner, A. C., 1997. Baryonyx walkeri, a fish-eating dinosaur from the Wealden of Surrey. Bull. Hist. Mus. nat., 53 : 11-70.
  7. Sereno, P. C., Beck, A. L., Dutheil, D. B., Gado, B., Larsson, H. C. E., Lyon, G. H., Marcot, J. D., Rauhut, O. W. M., Sadleir, R. W., Sidor, C. A., Varrichio, D. D., Wilson, G. P. & Wilson, J. A., 1998. A long-snouted predatory dinosaur from Africa and the evolution of spinosaurids. Science 282 : 1298–1302. [3]
  8. Charig, A. J. & Milner, A. C., 1990. The systematic position of Baryonyx walkeri, in the light of Gauthier's reclassification of the Theropoda. In : K. CARPENTER & P. J. CURRIE, Eds, Dinosaur systematics. Approaches and perspectives – Cambridge University Press, Cambridge : 127-140.
  9. Buffetaut, E., 1989. New remains of the enigmatic dinosaur Spinosaurus from the Cretaceous of Morocco and the affinities between Spinosaurus and Baryonyx. Neues Jahrbuch für Geologie und Paläontologie, Monatshefte 2 : 79-87.
  10. Buffetaut, E., 1992. Remarks on the Cretaceous theropod dinosaurs Spinosaurus and Baryonyx. Neues Jahrbuch für Geologie und Paläontologie, Monatshefte 2 : 88-96.
  11. Sues, H. -D., Frey, E., Martill, D. M. & Scott, D. M., 2002. Irritator challengeri, a spinosaurid (Dinosauria : Theropoda) from the Lower Cretaceous of Brazil. J. Vert. Palæontol. 22 (3)  : 535-547. [4]
  12. Hutt, S. & Newbery, P., 2004. A new look at Baryonyx walkeri (Charig and Milner, 1986) based upon a recent fossil find from the Wealden. SVPCA 2004.
  13. Stromer, E., 1915. Ergebnisse der Forschungsreisen Prof. E. Stromer in den Wüsten Agyptens. II. Wirbeltier-Reste der Baharîje-Stufe (unterstes Cenoman). 3. Das Original des Theropoden Spinosaurus ægyptiacus nov. gen., nov. spec. Abhandlungen der Königlich Bayerischen Akademie der Wissenschaften, Mathematisch-Physikalische28 (3)  : 1–32. Klasse.
  14. Taquet, P. & Russell, D. A., 1998. New data on spinosaurid dinosaurs from the Early Cretaceous of the Sahara. Compte Rendus de l'Académie des Sciences, Sciences de la terre et des planètes 327 : 347-353. [5]
  15. Buffetaut, E. & Ouaja, M., 2002. A new specimen of Spinosaurus (Dinosauria, Theropoda) from the Lower Cretaceous of Tunisia, with remarks on the evolutionary history of the Spinosauridæ. Bulletin de la Société Geologique de France. 173 (5)  : 415-421. [6]
  16. Owen, R. 1840–1845. Odontography. London : Hippolyte Baillière, 655p. (Année 1841 pour Suchosaurus cultridens)
  17. Viera, L. I. & Torres, J. A., 1995. Presencia de Baryonyx walkeri (Saurischia, Theropoda) en el Weald de La Rioja (Espana). Nota previa. Pourvube, Ciencias Naturales 47 : 57–61.
  18. Mantell, G. A., 1827. Illustrations of the geology of Sussex. London : Lupton Rolfe, 92p.
  19. Owen, R. 1840–1845. Odontography. London : Hippolyte Baillière, 655p
  20. Sauvage, H. E., 1897–1898. Vertébrés fossiles du Portugal. Contribution à l'étude des poissons et des reptiles du Jurassique et du Crétacique. Lisbonne : Direction des Travaux géologiques du Portugal, 46p.
  21. Torcida Fernández, F., Izquierdo Montero, L. A., Huerta Hurtado, P., Montero Huerta, D. & Pérez Martínez, G., 2003. Dientes de dinosaurios (Theropoda, Sauropoda), en el Cretácico Inferior de Burgos (España). - In : Pérez-Lorente, F. (ed. )  : Dinosaurios y otros Reptiles Mesozoicos en España (IER, Ciencias de la Tierra, 26)  : 335–346
  22. Sauvage, H. E., 1897–1898. Vertébrés fossiles du Portugal. Contribution à l'étude des poissons et des reptiles du Jurassique et du Crétacique. Lisbonne : Direction des Travaux géologiques du Portugal, 46p.
  23. Taquet, P., 1984. Une curieuse spécialisation du crâne de certains Dinosaures carnivores du Crétacé : le museau long et étroit des Spinosauridés. Comptes Rendus de l'Académie des Sciences, Paris Série II 299 : 217–222.
  24. Rayfield, E. J., Milner, A. C., Bui Xuan, V. & Young, P. G., 2007. Functional morphology of spinosaur'crocodile-mimic'dinosaurs. Journal of Vertebrate Paleontology 27 : 892-901.
  25. Buffetaut, E., Martill, D. & Escuillé, F., 2004. Pterosaurs as part a spinosaur diet. Nature, 430 : 33. [7]
  26. Kitchener, A., 1987. Function of Claws'claws. Nature 325, p. 114.
  27. Reid, R. E. H., 1987. Claws'claws. Nature 325 p. 487.

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